Sherlock Holmes en pastiches, romans, pièces de théâtre, essais...

Certaines liseuses ont la capacité de lire les fichiers numériques "audio", autrement dit, les livres audio, mais là, je dis "non" parce que j'aime lire et je ne veux pas qu'une voix me raconte l'histoire de mon livre, moi ! Je pense même que je piquerais du nez...

J'ai évité la Kindle d'Amazon... uniquement sur internet pour les commander, donc, je ne savais pas la toucher, la voir, que l'on me montre ses fonctionnalités et que je puisse jouer avec en magasin ensuite.

Je n'ai pas du paperwhite mais contrairement à mon idée reçue, pas de soucis. S'il fait trop sombre, alors j'allume le rétro éclairage en led et hop, c'est reparti !

Mais j'avoue que si je n'avais pas eu la possibilité d'essayer la liseuse d'une personne que je connais bien, jamais je n'aurais craqué... l'essayer, c'était l'adopter !

 Thank you , Belette. Donc, ça existe bien une personne qui lit pour  toi... mais j'te comprends , ça me plairait pas non plus, car elle risquerait de pas mettre les intonations qui m'plaisent et pire d'avvoir une vilaine voix ! ça doit enlever le charme de pouvoir imaginer les choses comme on veut. Le papier pour ça est irremplaçable.  Mais , c'est sûr, pour les mal-voyants, ça doit être génial !

J'suis contente qu't'ai trouvé cette liseuse, qui peut t'suivre partout sans peser ... lourd  

Hum moi je crois que ça me plairait bien, ce sont bien souvent des acteurs qui font ces lectures.
Bernard Gabay par exemple (j'adore sa voix) qui est un comédien au théâtre, à la télévision et au cinéma, et fait très souvent des doublages  (Sherlock Holmes version Robert Downey Jr c'est lui!) et plein d'autres acteurs, Ralph Fiennes , Andy Garcia, Matt Dillon,  Daniel Day-Lewis  et ... Robson Green :  Tony Hill dans  La Fureur dans le sang  
Donc ces textes sont magnifiquement servis et je pense que les écouter les yeux fermés dans le noir, bercée par une voix, ça doit être très agréable    mais faut pas s'endormir    
JB lui-même a fait des lectures et franchement ça ne te ferait pas rêver de l'écouter te lire un texte...

Si JB me lisait un texte, j'aurais affiché sur ma face un air des plus extatiques, ce qui n'irait pas si le texte lu était du suspense ou un récit qui glace les sangs

Oui, il y a des voix qui sont agréables à écouter, j'en ai entendu souvent de très belle dans des reportages (les "Apocalypses" sur les deux guerre, par exemple). Malgré tout, j'aime lire, c'est là tout le sel d'un roman aussi : le lire par soi-même. Donc, ça peut-être la plus belle voix, je ne passerai pas par le récit audio parce que quand je lis "sans images", je me les fais moi-même au fur et à mesure de mon récit, lu par un autre, ce ne serait pas le même

Une liseuse est une merveille, j'ai des tas de livres et ça fait même pas un giga ! Et j'en ai plus de 3, de giga

Le problème c'est que les libraires n'aiment pas du tout les liseuses mais moi je trouve ça cool car j'aime les arbres

L'avantage du numérique, c'est que l'auteur touche plus de commissions sur les ventes, en matière de pourcentage. Sur le papier, c'est une misère, ou alors, faut en vendre des centaines de milliers genre "merci pour ce moment"

Inconvénient du numérique, c'est qu'il transmet plus facilement et plus largement que les éditions papiers...

Bon, y'a a boire et à manger dans les deux... de toute façon, en Belgique, les petites librairies (où on vend des journaux, du tabac, de la loterie...) ont tendance à laisser tomber la vente des livres "romans" parce que les marges sont petites et avec peu de demande, sans oublier les coûts de stockage.

Le Belge va plus volontiers en grande surface (pour le choix énooorme) ou s'il habite la capitale, il a le choix de la Fn**, chez Filigranes (énoooorme niveau livres, romans, presse, cafeteria...) ou chez Tropismes, mais ce sont des magasins spécifiques sur la vente de romans. C'est chez eux que je me fournis pour mes romans neufs, parfois c'est en numérique, et le seconde main n'est pas délaissé.

Comme on dit chez nous "Je tire mon plan"

Faut tout de même être maso pour mettre sur sa liste de cadeaux un roman titré "Moriarty" et dont le bandeau-titre est "Sherlock Holmes est mort, vive Moriarty"... et bien, je l'ai fait !  Le résultat est bon !

Titre : Moriarty – Une aventure de Sherlock Holmes

Auteur : Anthony Horowitz
Édition : Calmann-Lévy (2014)

Résumé :






Pour lire la chronique sur le blog, cliquez ICI !

J'ai vu le titre de ta critique mais je ne suis pas allée plus loin...

Papa Noel va m'en faire cadeau (problème j'ai pas de cheminée mais il se débrouillera...) donc pas de spoiler je préfère avoir la surprise de la lecture.
J'espère qu'on sera plusieurs à pouvoir en discuter plus tard

Ah j'avais dit qu'on pourrait en discuter plus tard, mais les aléas de l'actu ont fait que c'est vraiment beaucoup plus tard.
Mais mieux vaut tard que jamais !! Alors espérons qu'on va pouvoir en discuter davantage ensemble car 'Moriarty' est un ouvrage réussi avec brio C'est bien écrit, élégant, divertissant et haletant.

L'histoire est très originale pleine d'imagination et de bonnes idées.
Et quel suspens ! on veut connaitre la suite page après page et on ne s'ennuie pas une seconde.
Les crimes sont affreux, les aventures rebondissent sans faille, l'intrigue est emberlificotée et surtout le suspense est haletant du début à la fin.
Et la fin du livre est une apothéose (chuuuttt faut pas la dévoiler   ) il y a un retournement extraordinaire. Pour ma part je m'y attendais pas du tout et j'en suis restée comme deux ronds de flan    carrément diabolique   en plus ça tient en une seule phrase !
L'atmosphère est mystérieuse et glauque mais on s'immerge volontiers. Et c'est vrai qu'on ressent de l'empathie pour les deux héros (du coup la fin m'a un peu attristée...)
Ce que j'aime beaucoup aussi c'est que le récit multiplie subtilement les références à Holmes, ses enquêtes, sa vie, ses méthodes et on retrouve un florilège des personnages du Canon qui n'auraient jamais dû se côtoyer. Sacrée bonne idée et exploitée à bon escient !

Moi qui ne suis pas une papivore comme belette je vous conseille vivement ce bouquin vous ne serez pas déçus !

En effet, Dyan, il est très bien fait et en faire la critique n'était pas aisée car il ne faut rien dire de plus pour ne pas dévoiler les bijoux de la couronne...

Mais ça m'a fait plaisir de le lire, j'ai été scotchée.

belette2911 a écrit:

Mais ça m'a fait plaisir de le lire, j'ai été scotchée.

C'est clair et c'est vraiment tout le talent d'un écrivain : arriver à vous scotcher !

Titre : Une étude en écarlate : Jean d’ Aillon [Chroniques d’Edward Holmes et Gower Watson]

Auteur : Jean d’ Aillon
Édition : 10-18 (2015)

Résumé : Le 21 mai 1420, Isabeau de Bavière, reine de France, signait, au nom de son mari Charles VI, fou et incapable, un traité par lequel le roi reconnaissait Henri V de Lancastre, son gendre, héritier de la couronne de France.

Quelques mois plus tard, Edward Holmes, clerc et demi-frère du baron de Roos tué à la bataille de Baugé, était chassé de l’hôtel parisien de son seigneur.

Ne pouvant rentrer en Angleterre, maître Holmes trouva logis chez le bonnetier Bonacieux, sis rue du Coq, où il partagea la chambre de Gower Watson, un archer blessé à la bataille d’Azincourt.

Dans un Paris ou règnent la faim, le froid et la misère, Edward Holmes devra mettre à jour un terrible complot dans lequel les conjurés veulent entraîner son ami Gower Watson.

Critique :
♫ C’était au temps où Paris s’anglicisait, ♫ C’était au temps où l’roi des Anglais vous gouvernait ♪ (Pardon, Jacques).

Hé oui, les gars, un jour, il y a 600 ans, vous fûtes sous l’autorité d’un roi Anglais ! Charles VI a signé le traité qui stipulait que la couronne de France serait cédée à Henri V d’Angleterre. Mais ce con de numéro 5 meurt et c’est son fils, Henri VI d’Angleterre, qui est reconnu roi de France par les Anglais et les Bourguignons, maîtres de Paris et de la partie nord du royaume de France. Ben mon vieux !

Un pastiche de Sherlock Holmes qui n’en est pas tout à fait un, ça ne pouvait qu’éveiller ma curiosité ! Pensez bien, un clerc nommé Edward Holmes qui résout des petites énigmes après avoir croisé un dénommé Gower Watson et qui se balade dans les rues de Paris en 1420, je ne pouvais passer à côté.

Bien entendu, j’ai cherché toutes les petites références canoniques mais je n’en ai pas vu beaucoup (la viole au lieu du violon – Mortimer=Moriarty ?), le clerc Holmes étant tout de même assez éloigné de son modèle officiel, tout comme Watson, archer dans cette aventure.

Sherlock Holmes savait se battre et notre Edward Holmes est parfois un peu pusillanime quand il s’agit de monter au front, bien qu’il ne manquasse pas de courage lorsqu’il faut montrer qu’on en a « sous la toge » afin de sauver son ami Gower.

Malgré ces petites choses, j’ai souri, car ce pastiche est bien fichu et les personnages aussi. J’ai bien aimé l’introduction qui nous changeait de la vieille malle en fer blanc…

Rien de trépidant, le roman n’étant pas un thriller, mais le récit a du rythme, il est plaisant à lire à condition que l’on ne soit pas allergique à l’Histoire. Parce que oui, de l’Histoire de France, vous allez en bouffer ! Moi, j’ai apprécié, mais il n’en aurait pas fallu plus.

On sent de suite que l’auteur maîtrise l’Histoire et dans le récit, elle a son importance, vu les complots qui se trament dans les arrière-cour ! Ils avaient déjà dû lire « Game of thrones » en 1420 parce que niveau complotages (néologisme) et assassinats, ça se défend bien.

Les descriptions des rues de Paris, de la vie des habitants, du prix des denrées, sont légions et je n’aurais pas aimé vivre à cette époque là.

Les dialogues sont en V.O, c’est-à-dire avec des mots de l’époque et les notes explicatives en fin d’ouvrage sont à consulter souvent, ainsi qu’un dictionnaire, afin de ne pas laisser passer des mots inusités et dont on ne connait pas la signification. Avec l’inconvénient de ralentir la lecture.

Plusieurs petites affaires à dénouer, des intrigues de Cour, des autres mystères que Holmes devra déjouer pendant que vous, peinard, les pieds au chaud (et pas dans les rues boueuses de Paris), vous suivrez la manière dont il va résoudre les énigmes, parce que Vous, Lecteur, vous savez déjà tout puisque vous avez aussi accompagné les conspirateurs dans leur périple.

Un roman policier historique qui se laisse lire, à condition qu’on ne soit pas sujet à attraper pas des boutons en lisant des récits remplis de faits historiques. Des personnages bien campés, le tout dans un Paris qui crève de faim, dans un Paris écartelé, dans un Paris qui fut massacré, un Paris où les vides-gousset sont légion, dans un Paris sale mais un Paris arpenté par Holmes !

Un pastiche holmésien qui n’en est pas un, mais qui s’inspire des personnages de Conan Doyle, pour mon plus grand plaisir. Si l’auteur continue, je le lirai avec grand plaisir.

The Cannibal Lecteur

Compliments Belette, comme chaque fois tu nous ponds un magnifique topo j'aurais surement pas le temps de le lire, dommage l'histoire semble plaisante et bien menée . Et les oeuvres inspirées de Holmes sont toujours interessantes à découvrir tant sur le fond que la forme  
Je ne connais pas cet auteur qui a la spécialité des romans policiers historiques. Il a l'air très prolifique mais  je crois que c'est sa première incursion dans l'univers de Conan Doyle.

Il me semble aussi que ce soit sa première incursion dans l'univers de Holmes, mais je ne pourrais pas en jurer... il l'a peut-être déjà fait que je ne le sais pas

Ça change en tout cas de tous les pastiches que nous avons pu avoir. C'est Holmes et Watson, mais pas tout à fait non plus, ce qui lui laisse de grandes libertés. Par contre, pour celui qui n'aime pas le côté historique, il va en bouffer pour toute l'année !

Moi, j'ai passé un bon moment, rien de transcendantal, mais bon, on ne peut l'avoir à toutes les lectures.

Le dico Sherlock Holmes

Auteurs : Jacques Baudou et Paul Gayot
Édition : Les Moutons Électriques (2015)

Résumé et critique sur le blog du Cannibal Lecteur (mon blog) car j'ai les yeux qui sautent des lignes quand je dois me relire en blanc sur fond noir !

Sherlock Holmes – Détective consultant

Auteur : John Bastardi Daumont
Édition : Éditions de la Martinière (2014)

Son nom est synonyme de détective privé, mais aussi d’acuité intellectuelle, de vélocité d’esprit. Pour certains, il a réellement existé, tandis que d’autres ont tout simplement oublié son géniteur, Conan Doyle.

John Bastardi Daumont a enquêté durant deux ans pour retracer la biographie du plus populaire des héros de fiction policière : il a parcouru l’Angleterre afin de recréer le parcours de Sherlock Holmes.

Résumé complet et critique un peu acide sur le blog du Cannibal Lecteur (Belette pour les intimes) pour une plus grande facilité de lecture et pour mes petits yeux qui fatiguent...

Sherlock Holmes – De Baker Street au grand écran

Auteur : Natacha Levet
Édition : Autrement (2012)

Né de l’imagination d’Arthur Conan Doyle en 1887, le locataire du 221b Baker Street est devenu une figure mythique tant le personnage a connu de transformations et d’avatars littéraires, hantant le théâtre, le ciné, les séries télé, la BD et les jeux vidéos.

Surhomme détective, il représente l’avènement de l’enquêteur scientifique, dans un genre littéraire, le policier, alors en plein essor.

Résumé et critique sur mon blog The Cannibal Lecteur  

Sherlock Holmes – Volume 1 (d’après l’œuvre de Sir Arthur Conan Doyle) [Manga]

Auteur : Shotaro Ishinomori & Morihiko Ishikawa
Édition : Isan Manga (2015)

Retrouvez les adaptations des premières aventures du plus connu des détectives : Sherlock Holmes.

De sa première rencontre avec le docteur Watson autour d’un mystérieux meurtre, à la toute première enquête du jeune Sherlock encore étudiant, découvrez la science de la déduction présentée par le maître de son genre.

Cette adaptation, supervisée par Shotaro Ishinomori et dessinée par Morihiko Ishikawa, contient les histoires suivantes : « Une étude en rouge », « Le Ruban moucheté » et « Le Gloria Scott » .

Critique ICI

Les enquêtes de Sherlock Holmes [Manga]

Auteur : Arthur Conan Doyle
Dessinateur : Haruka Komusubi
Édition : Nobi Nobi ! (2015)

Résumé : Dans le Londres de la fin du XIXème siècle, le docteur Watson fait la connaissance d’un individu des plus remarquables : le détective privé Sherlock Holmes.

Embarqué malgré lui dans les plus étranges enquêtes de la ville, il apprendra aux côtés de cette légende vivante les filons de la logique et de l’observation méticuleuse qui mènent à la résolution de ces énigmes.

Mais elles semblent toutes avoir un point commun : le machiavélique professeur Moriarty ! Holmes va devoir user de son intuition légendaire pour déjouer les plans de son pire ennemi… Élémentaire !

Pour tout savoir sur ce que j'en ai pensé, voir mon blog : The Cannibal Lecteur

Tu bats des records belette 5 posts en 10 min hier  !!
Compliments pour ton blog   on doit trouver un topo sur chaque parution holmésienne!!

En plein mois anglais, donc, je lis Sherlock et je regarde des films holmésiens ! Tout ce que je n'avais pas encore lu ou vu (parfois, ce sont de relecture et des revisionnages) passe à la casserole !

D'ailleurs, j'ai encore une fiche "lecture"...

Les énigmes de Sherlock Holmes

Auteur : Dr John Watson
Édition : Hachette Pratique (2012)

Résumé : 150 énigmes à résoudre, inspirées des célèbres enquêtes de Sherlock Holmes. Des plus élémentaires aux plus coriaces. Le livre à offrir absolument à l’occasion du 125e anniversaire de la création du personnage de détective le plus emblématique.

Pour tout savoir sur cette fumisterie, voyez chez moi...

C'est quoi ce mois anglais ?? excuse mon ignorance

Les énigmes de Sherlock Holmes sont laminées par ta critique, l'éditeur n'a pas du apprécier

Le mois anglais a lieu tous les mois de juin, il est organisée par trois taulières de blogs et le but du jeu est de lire, voir, manger, cuisiner "anglais" ! Niveau lectures, soit des auteurs anglais, soit des auteurs étrangers dont l'action du livre se situe en Angleterre. Et on dit bien "Angleterre", ce qui exclu le Royaume-Uni ! Exit les autres territoires, juste la Perfide Albion et rien que elles.

Ce qui fait que niveau bouffe, tu peux faire des scones et donner ta recette, parler du thé, du rôti sauce chantilly (délisceuce, mange mon fils, mange !), bref, de tout ce que les englisheu mange ou boive.

Moi, chaque année, je sors des Sherlock Holmes en pastiches ou en films ainsi que mon autre vice, Jack...

Oui, Dyan, j'ai laminé l'ouvrage, mais bon, j'ai attendu avant de le descendre, je ne l'ai pas fait à sa sortie, idem avec "Détective Consultant" de John Bastardi Daumont.

Carrément la totale ce mois anglais ! Moi qui déteste le thé ça serait difficile à vivre !
Je sais aussi qu'il existait un "Granada marathon" mais je ne pense pas qu'il soit aussi exigeant, c'est seulement poster des histoires, textes, photos ou gifs...

Je profite toujours du mois Anglais pour revoir des épisodes de la Granada aussi

Le mois Anglais est exigeant pour celles qui, comme moi, le vivent à fond et termine avec l'énergie à zéro car elles ont tout donné. Heureusement pour les gentilles organisatrices, je pense être la seule à en faire autant ! Martine, une des G.O fini avec un burn-out chaque année à cause de moi ! Je pense arriver à 40 billets, mon record étant de 62 billets, l'année dernière...

Titre : Les abeilles de Monsieur Holmes                      

Auteur : Mitch Cullin
Édition : Naïve (2007)

Résumé :
Sussex, 1947. Sherlock Holmes vit retiré d’un monde dont les mutations et le tapage absurde lui échappent de plus en plus. Seuls le préoccupent à présent ses abeilles, l’écriture et le déclin de sa mémoire.

Critique sur le blog du Cannibal Lecteur (Belette)

Alors ça y est tu l'as lu J'ai vu ta critique que je partage globalement.

C'est un beau bouquin, qui se savoure lentement à chaque page au rythme du personnage. Malgré son âge, Holmes possède toujours son sens de la déduction et ses petites cellules grises - un peu défraîchies -sont encore actives, on voit comment il procède. Il y a  différentes intrigues parallèles, mais je trouve que l'auteur se débrouille bien pour passer de l'une à l'autre.
En parallèle, l'histoire est jolie avec le gamin et leurs rapports. Holmes va essayer de lui offrir une figure paternelle. Par contre beaucoup de nostalgie teintée de pessimisme se dégage de l'histoire. Elle invite à réfléchir sur le sens de la vie une fois venue l'heure du bilan... Je l'ai pas lu aussi vite que toi mais j'avais passé un bon moment.

Dis donc t'y vas fort dans les jeux de mots: le Suce Sex !!! ...

Cette région de l'Angleterre m'a toujours fait sourire et j'en profite dès qu'un roman se passe là-bas pour sortir cet horrible jeu de mot qui me fait toujours rire.

Pour ma part, j'ai accéléré la cadence de lecture, ça tournait tout seul, je lisais sans devoir me concentrer (comme parfois avec certains romans), un vrai plaisir de lecture et quelques kleenex aussi, parce que... là, j'ai hurlé ma frustration. La vache.

Titre : Les Quatre de Baker Street – Tome 6 – L’Homme du Yard

Scénariste : Jean-Blaise Djian                                          
Dessinateur : Olivier Legrand

Édition : Vents d’Ouest (2015)

Résumé : Sherlock Holmes est de retour ! Le crime aussi…

1893. Dissimulé dans l’East End londonien, Sherlock Holmes poursuit sa guerre secrète contre les anciens associés de Moriarty : le redoutable Colonel Moran et le superintendant Blackstone de Scotland Yard…

Bien décidé à débusquer Holmes avant qu’il ne refasse surface, l’Homme du Yard va tout mettre en œuvre pour remonter sa piste – une piste qui est aussi celle de nos héros, indispensables auxiliaires de l’insaisissable détective. Traqués par la police, Billy, Charlie et Black Tom doivent prendre la tangente.

Semée d’embûches et de dangers, leur cavale débouchera sur un terrible drame. Pour les Quatre de Baker Street, rien ne sera plus jamais comme avant…

Critique :
C’est toujours avec un plaisir mêlé de crainte que j’entame tout nouvel album de cette saga. [...] Suite sur The Cannibal Lecteur

Titre : Sherlock Holmes Society – Tome 1 – L’Affaire Keelodge

Scénariste : Sylvain Cordurié
Dessinateur :  Stéphane Bervas

Édition : Soleil (2015)                                                            

Résumé : De 1891 à 1894, Sherlock Holmes s’est fait passer pour mort. Peu de personnes savaient qu’il avait survécu à son affrontement avec James Moriarty aux chutes de Reichenbach. Pas même le docteur Watson. Puis, après bien des épreuves, Holmes a mis fin à cette duperie et repris son activité de détective-conseil.

Il travaille aux côtés de Scotland Yard pour arrêter un copycat de Jack l’Éventreur quand son frère Mycroft vient solliciter son aide.

Keelodge, un village enclavé entre la mer et la côte a été isolé. Personne ne peut en sortir.

Mycroft explique que les gens du village sont tous devenus fous, sanguinaires et cannibales. Il a besoin de lui sur le terrain car ce drame découle vraisemblablement d’un acte criminel. Commence alors l’enquête la plus sombre que Sherlock Holmes ait connu.

Critique :
Une découverte de plus pour moi avec cette nouvelle série qui a pour scénariste, le prolifique Sylvain Cordurié. [...] Suite sur The Cannibal Lecteur

 faut qu'tu saches, belette, combien j'apprécie tes rubriques. ça s'lit facilement et j'me régale à les découvrir. Grâce à toi, j'suis pas totalement ignorante en pastiches. C'est très chouette. Vive Cannibal lecteur ! il connait pas la satiété !!! t'as l'air d'avoir trouveé un bon filon avec ce CORDURIE...

Moi côté BD j'y connais rien (à part Mickey quand j'étais gosse ) tandis qu'en Belgique c'est une vraie culture. J'en ai tout de même lu quelques unes de Holmes par curiosité mais j'accroche pas

Merci Tidou !! ça me fait plaisir.

Dyan, oui, en effet, une institution chez nous, mais je le dois surtout à mon papa qui m'a fait découvrir les bédés alors que j'étais toute jeune. Je savais pas lire que j'avais déjà mes premiers Tintin.

Alors, Sherlock Holmes en bédé, c'est réunir deux de mes vices.

Sherlock Holmes Society – Tome 2 – Noires sont leurs âmes : Cordurié & Torrents

Fiche complète sur mon blog, ICI

Sherlock Holmes Society – Tome 3 – In Nomine Dei : Cordurié & Nespolino

Fiche et critique complète sur mon blog, ICI

 waouh ! Tu nous gâtes belette ! t'as l'air fan des albums des Brunschwig. J'apprends qu'la mère de Holmes s'appelais Violet. ça doit être chouette d'en savoir un peu plus sur elle. La couverture du livre est vachement belle. tu sais qui est le dessinateur ?

j'suis contente qu'tu nous tiennes au courant des nouveaux pastiches. J'aime beaucoup les dessins de Nespolino. Les 2 couvertures qu't'a posté sont extra. Y'a du mystère et d'la puissance... et les scénarios ont l'air sympa, plein d'action. tu nous donnes une juste idée d'ces bouquins. Une idée de cadeau pour Noël ... Thank you so much.

Coucou Tidou !

Pour la dame de Scurati, le dessinateur est Cecil, j'ai oublié de le noter dans la fiche... Violet est un prénom qui revient souvent pour la mère de Holmes, sans doute dû au fait que le prénom Violet revient souvent aussi dans les aventures de Holmes.

La dame sur la couverture est Florence Nightingale âgée.

J'adore aussi les couvertures de la collection Society car il n'y a jamais qu'un personnage dessus, dans une pose un peu étrange qui éveille la curiosité. Holmes est mon vice, la bédé aussi, je nourri mon vice régulièrement et je vous en fait profiter.

 ... et nous en profitons pleinement, sois en sûre. C'est vrai que les couvertures de livres ont leur importance. Souvent elles participent à l'envie d'achat. Les éditeurs doivent surement leur accorder toute leur attention. Bonne continuation de lecture, belette. Mais je me demande où tu ranges tous tes bouquins ?   A+